LE DROIT A LA TRISTESSE

 

Le bonheur n’est ni un droit ni une obligation. Il n'y a aucune obligation sociale d'être heureux. Parfois, si les gens pensent qu'ils devaient être heureux et ce n'est pas bien par rapport à nos autres de ne pas l'être, ils devraient se remettre en question. La mélancolie et la tristesse sont deux émotions normales et saines. Il va de soi qu'une tristesse profonde et prolongée, sans aucun lien avec un événement de la vie, peut-être le signe d'une vraie dépression nécessitant de l'aide.

Mais acceptons le côté créatif et cinq de notre tristesse ordinaire. Et même de quelques épreuves douloureuses...

Nos plus grandes réalisations dans la vie, surtout lorsqu'elles impliquent des activités créatrices ou dédiées aux soins des autres, nous oblige souvent à renoncer à ce qui auraient pu nous faire du bien pendant ce temps. Nous pouvons accepter qu'un certain degré de tristesse et de souffrance dans la vie soit nécessaire voir utile.

Compte tenu de sa nature subjective, notre bonheur un combat chacun de nous, individuellement, et à ceux qui nous sont proches.

Si nous voulons accéder au bonheur, arrêtons de faire les choses qui nous rendent malheureux. Parfois il suffit de dormir un peu plus ; cet simple différend sur le plan du sommeil pour renforcer le bonheur d'un individu. Mais parfois nous devons nous poser des questions plus abruptes. Est-ce que je bois trop ? Est-ce que je recherche désespérément à être aimé et approuvé ? Fixez vous alors quelques objectifs pour changer d'attitude. Si on veut être heureux, il faut aussi arrêter de se comparer aux autres. Bien sûr, il est naturel de vouloir s'insérer dans un groupe social ; l'appartenance d'une dimension importante du bien-être - et nous avons intérêt à suivre l'exemple de modèle - mais l'envie et la rancoeur sont des sentiments délétères qui compteront pour le bonheur. Faites le bilan de votre vie et apprécier les bonnes choses que vous avez et les choses que vous avez réalisées. Célébrer les succès des autres et attribuez-vous le mérite votre propre succès.

En conclusion je suggère de ne plus songer, temporairement, à notre propre bonheur. Tendons la main aux autres pour les aider. Nous pouvons trouver la véritable satisfaction dans la vie en contribuant bien-être des autres et en les aidant à traverser les moments difficiles. Ce faisant, nous obtiendrons les récompenses notre appartenance sociale et de notre sollicitude.

Dispensez-vous de l'obligation sociale d'être heureux et n'allez pas imaginer que le bonheur est un droit.

Accepter le fait qu'un certain degré de tristesse et de souffrance dans la vie est nécessaire voir utile.

Cessé de faire des choses qui vous rend malheureux et arrêter temporairement de son cher votre propre bonheur.