Faut-il se fier à son intuition ?

 

Une voix intérieure, une force irrépressible, un picotement dans les mains...

 

Un jour ou l'autre, qui n'a pas fait l'expérience de l’intuition ?

 

Faut-il assure aveuglément ou bien à négliger ?

 

Superstition ? Hasard ? Intuition ? C'est l'impression de connaître la bonne décision à prendre sans pouvoir vraiment expliquer pourquoi.

 

L'intuition tient à une extrême attention à soi-même.

 

D'autres y voient plutôt une connaissance inconsciente du monde, le simple fait de porter attention aux choses de l'effet en mémoriser à notre insu.

 

 Face à un problème à résoudre ou une décision à prendre, l'intuition passe par des raccourcis faisant appel à cette mémoire inconsciente et à nos émotions.

 

 Et au passage, elle pioche dans des informations immédiates dites des micros expressions de notre interlocuteur, intonation de sa voix, son odeur... Mais à l'heure du « tout rationnel », on a tendance à la négliger.

 

Par habitude ou par peur de l'inconnu, on préfère se ranger à l'avis des autres sur ce que l'on a envie de croire.

  

Or, cela peut rendre très malheureux. Côté amour, par exemple, il nous est impossible d'envisager une rupture alors que nous savons fond de nous, qu'il y a danger et on se dit : « je savais bien que cet homme me faire du tort. J'aurais dû m'écouter. »

 

Certains maux de tête sont provoqués par le déni d'une réalité qui nous déplaît. Nombreuses sommatives nations viennent de ce conflit intérieur entre nos actes et ce que nous ressentons devoir faire.

 

Soyez donc attentifs aux premiers signaux, ne négligez pas une sensation d'angoisse tel que le plexus contracté, une boule dans la gorge venue de nulle part.

 

L’intuition est, à ce moment-là, davantage une affaire de ressenti.

 

À tout instant de la vie, privés ou professionnels, l'intuition que nous être utile. Mais c'est le monde travaille encore tissant face à cette chose que l'on ne peut pas mesurer, de plus en plus de décideurs y ont recours.

 

Plutôt que de peser le pour et le contre pendant des heures, ils tranchent spontanément, suffit à leur expérience et à leur « nez ».

 

On peut aussi ressentir avec le corps, une douleur dans le dos, la chair de poule, un noeud à l'estomac mais aussi entendre une idée, voir une image ou un symbole.

 

Tout l'enjeu est d'apprendre à reconnaître son propre mode intuitif.

 

Mais qu’ont-ils de particuliers, les intuitifs ? Peut-être la confiance en soi, la capacité de s'écouter, ou bien la conviction intime qui n'y a pas de choix parfait et ce fait prendre un risque sur une décision importante ne les effraie pas.

 

Et l'intuition s'avère mauvaise, il faut à mettre l'erreur et ne pas craindre de suffi et un nouveau. Finalement la vie des actifs est un peu plus légère que celle des autres.

 

Autant que possible, il s'agit de vivre en tenant compte de ce que l'intuition nous inspire. Il faut faire confiance à cette petite voix pleine de sagesse et se sentir capable d'avoir nous-mêmes la solution problème que nous nous posons au quotidien.

 

Pour y parvenir, on doit déjà y croire. Il faut ensuite renouer avec ses sensations profondes, donc se rendre disponibles.

 

Cela passe par un travail sur soi-même avec l'aide ou pas d'un psychothérapeute.

 

Par ailleurs de nombreuses techniques aident à se poser à entendre les signaux émis par notre inconscient.

 

Imposez-vous un quart d'heure par jour de solitude, sans rien faire.

 

Au début, de nombreuses questions affluent telles que « qu’ai-je envie de faire, de ne pas faire... » Mais peu à peu, l'esprit et le corps se relâchent.

 

Pour y parvenir, respirez par le ventre et laissez le vide s'installer en vous. Lorsque ce travail de base est bien engagé on retrouve peu à peu confiance en ses perceptions intérieures.

 

Il vaut mieux tout de même vérifier son intuition. Il existe des entraves à cette dernière telle que la peur, la peur de ne pas être aimé, de quitter, d'être quitté, de changer, de rater.... La plupart de nos peurs proviennent de nos expériences passées, nous les avons intégrées et elles sont devenues des croyances inconscientes, des auto affirmations et il est difficile de percevoir les signaux de l'intuition si notre mental est constamment perturbé par des émotions ou des sentiments refoulés.

 

En menant un travail de lâcher prise, se dire que nous sommes seuls capables de dépasser une situation, nous pouvons dépasser ces entraves.

 

Nous ne devons pas craindre de nous tromper. Même si c'est le cas, il faut rester persuadé que le fait de suivre son intuition apporte toujours quelque chose, des ouvertures totalement différentes de ce que l'on attendait.

 

Dans une décision, la logique doit également compter. Par exemple face à une personne que nous ne ressentons pas, il faut essayer d'aller au-delà des apparences, de comprendre ce qui nous gêne en elle.

 

 Et attention aussi de ne pas prendre ses désirs pour des réalités, de ne pas les projeter sur une situation en pensant qu'il s'agit d'une intuition. Il faut donc toujours la vérifier.

 

Après avoir agi, il faut regarder ce que l'intuition est devenue dans le temps et comparer votre intuition à la réalité.