TREMBLEZ MAIS OSEZ!!!!!!!!

 

QU’EST-CE QUI VOUS EMPECHE D’ETRE CELUI QUE VOUS VOULEZ ETRE ET DE MENER LA VIE DONT VOUS REVER ?

 

 

 

C’est un livre que je lis actuellement du Dr Susan JEFFERS : « Tremblez mais osez ! » aux éditions Marabout.

 

J’aurais souhaité vous faire part d’un résumé de ce livre qui est une réflexion sur notre état et pourquoi dans la vie certaines choses nous empêchent d’avancer.

 

Au fil des pages, je me suis retrouvée dans certains moments et je pense que chacun peut y trouver un morceau de soi.

 

J’ai cité l’auteur et l’éditeur, pour plus de faciliter je ne mettrais pas les guillemets pour chaque citation du livre et je m’en excuse d’avance auprès d’eux.

 

L’auteur démarre son livre sur un sentiment que chacun connaissons : la peur.

 

Effectivement, on la retrouve partout : lorsqu’on commence quelque chose, ou qu’on le termine, on s’affole devant un changement de situation, devant la peur de l’échec et cette sensation de ne pas être à la hauteur.

 

On peut être effrayé aussi bien par le succès que par l’échec et donc la vie nous terrorise presque autant que la mort.

 

Il se peut parfois que pour une chose simple, un sentiment de peut vous envahit et vous pensez que cela peut être lié à un problème psychologique et que vous êtes différents des autres car vous ne les voyez pas réagir de la même façon face à une situation identique.

 

Il faut d’abord accepter la vie telle qu’elle se présente car tout au long de notre existence, elle sera faite de joies, de peines, de craintes, d’hésitations, de convictions…

 

Et lors de difficultés, on se retrouve seul face à sa solitude et son mal être qui peut même se percevoir physiquement de part l’expression de fatigue, de tension du visage et dans notre comportement.

 

La première question à se poser est : «  de quoi avez-vous peur ? ».

 

Il faut savoir que nous ne sommes pas seuls à avoir cette émotion.

 

Alors pourquoi certains arrivent à l’affronter mieux que d’autres ?

 

 

L’auteur distingue trois niveaux de peur.

 

Le premier concerne les appréhensions que tout le monde est susceptible de ressentir devant une situation rencontrée aussi bien dans la vie que dans les actions à entreprendre.

 

Les situations rencontrées dans la vie :

 

  • la vieillesse

  • l’infirmité

  • la retraite

  • la solitude

  • le départ des enfants

  • les soucis d’argent

  • le changement

  • la mort

  • la maladie

  • la perte d’un être cher

  • l’accident

 

Les actions à entreprendre :

 

  • reprendre des études

  • prendre une décision

  • changer de métier

  • se faire de nouveaux amis

  • s’engager dans une relation amoureuse

  • mettre fin à une relation amoureuse

  • téléphoner

  • s’affirmer en société

  • décider de suivre un régime

  • subir un entretien d’embauche

  • conduire

  • parler en public

 

Cette liste n’a rien d’exhaustif !

 

Le deuxième niveau de la peur ne dépend pas d’une situation extérieure donnée mais plus l’expression de son moi profond et la difficulté de faire face à l’adversité.

 

Par exemple : l’exclusion, le succès, l’échec, la vulnérabilité, la duperie, l’impuissance, la désapprobation, la mésestime de soi.

Comme elles sont liées à l’esprit, ces peurs peuvent avoir de

 graves conséquences sur le cours de votre vie.

 

Par exemple, si vous craigniez d’être rejeté, cette angoisse va affecter toutes les sphères de votre vie, amitié, vie professionnelle, sexualité….

 

Progressivement, vous allez au bout du compte vous protéger du risque d’être rejeté jusqu’à en arriver à vous imposer vous-même des limites et des barrières entre le monde et vous.

 

Le troisième niveau de la peur est le : « je n’arrive pas à faire face ».

 

C’est la peur d’affronter tout ce que je viens de citer au dessus, aussi bien sur les peurs du premier niveau que du deuxième.

 

Pour diminuer votre peut face à un évènement quelconque, la seule chose à faire est d’avoir confiance en soi.

 

Il faut aussi s’avouer la vérité, celle de se dire j’ai peur, je crains, je ne peux pas…..

 

Si quelque chose vous gêne, il faut envisager la situation incriminée, la « mettre à plat » et d’agir en fonction d’y apporter un changement.

 

Pour y arriver, il faut d’abord développer la confiance en soi. Il faut arriver à se dire même si cela à l’air très « chevalresque » : « je peux tout affronter ».

 

Il faut avoir conscience que tout au long de notre vie, la peur nous ne quittera pas, elle nous suit, nous poursuit.

 

Il faut donc trouver des moyens, des outils, pour affronter de face cette peur et trouver une stratégie pour que la situation qui nous effraie devienne gérable.

 

Tant que vous évoluerez dans la vie, la peur vous suivra puisque vous serez confrontés à des situations complètement étrangères à vos habitudes et qui demanderont une nouvelle adaptation aussi bien mentale que physique.

 

La seule façon de vaincre sa peur est de passer à l’action et de prendre une situation qui engage.

 

Certes, vous prendrez parfois les mauvaises décisions mais c’est votre faculté d’adaptation à une nouvelle situation qui vous aidera à affronter ce mauvais engagement.

 

Il faut avoir aussi une bonne estime de soi, l’amour-propre est non négligeable.

 

Tout en restant dans le raisonnable bien évidemment !

 

L’autosuggestion nous permet de chercher à se persuader qu’on a de la valeur, des compétences et des qualités qui ne sont pas inutiles.

 

On peut finir par s’en convaincre et nous donner le petit coup de pouce nécessaire.

 

Ce qui fait vraiment la différence, c’est le sentiment d’avoir accompli quelque chose, on se sent ainsi mieux et on gagne en assurance.

 

Il faut apprendre à surmonter sa peur et agir malgré tout.

Il faut réussir et donner une forme concrète à ses idées.

 

Surmonter son appréhension à agir engendre moins d’angoisse que de vivre constamment avec la peur souterraine créée par un sentiment d’impuissance et d’insatisfaction.

 

En refusant de prendre des risques, on se crée un monde beaucoup plus aliénant et inquiétant qu’en s’exposant à des risques qui nous permettent au bout du compte à mieux vivre.

 

Tout le monde éprouve de la peur à chaque étape décisive de sa vie, nous sommes tous égaux sur ce point.

 

Mais la différence va venir de ce que l’on va faire de cette peur.

 

Il faut donc se convaincre de plusieurs choses :

  • la peur ne nous quittera pas aussi longtemps que nous évoluerons

  • la seule façon de la vaincre est de passer à l’action et de prendre une décision qui nous engage même si le résultat escompté n’est pas celui que nous attendions.

  • Nous ne sommes pas seuls à faire l’expérience de la peur lorsque nous pénétrons dans un endroit inconnu, tout le monde ressent la même chose.

  • Surmonter l’appréhension d’agir engendre moins d’angoisse que de vivre constamment avec la peur souterraine créée par un sentiment d’impuissance et ‘insatisfaction.

 

 

Le vrai problème de la peur est les effets qu’elle produit sur nous : de la souffrance, de l’impuissance, de l’immobilisme, de l’instabilité, de la dépression.

 

Lorsqu’on prend le pouvoir sur notre peur cela engendre le fait qu’on fasse un choix et nous sommes donc plus enthousiastes de part l’action qu’on réalise.

 

Ce pouvoir est celui que l’on a sur nous-mêmes, du contrôle de notre perception du monde extérieur, et de notre comportement devant les aléas de la vie en général.

 

De ce pouvoir dépend votre épanouissement personnel et votre aptitude au bonheur ainsi que votre capacité d’agir mais aussi d’aimer les autres.

C’est une sorte de maîtrise de soi.

 

Il s’agit d’obtenir ce que vous voulez de vous-mêmes et non d’agir afin d’obtenir ce qu’autrui désire.

 

Lorsque vous passez à l’action, réfléchissez à deux fois avant de la commettre pour bien savoir si vous êtes dans un bon choix ou dans l’erreur et si la deuxième option vient s’imposer à vous, sachez que les erreurs nous donnent des leçons et donc des atouts entre nos mains pour notre avenir.

 

Il faut apprendre à soigner son vocabulaire :

 

-Je ne peux pas devient je ne veux pas

- je devrais devient je pourrais

- Ce n’est pas ma faute devient je suis entièrement responsable

- C’est un problème devient c’est une chance

- j’espère devient je sais

- Si seulement devient la prochaine fois

- Que vais-je faire ? devient je vais assumer

- C’est affreux devient c’est une bonne leçon

- Je ne suis jamais satisfait devient j’ai envie d’apprendre

- la vie est un combat devient la vie est une aventure.

 

Vous devez considérez chaque obstacle de la vie comme un cadeau qui vous permet de faire vos preuves, de vous dépasser, de devenir plus fort pour affronter le monde.

 

Vous disposez d’inépuisables ressources dont vous ne connaissez pas l’importance et la force.

 

C’est dans les épreuves que vous vous en apercevrez.

 

Même la maladie, du moment qu’elle est curable, est une opportunité de changer.

 

Si malgré tout vous savez que vous abdiquerez face à elle, il est toujours temps de changer pour votre paix intérieure et l’image que vous laisserez à votre entourage.

 

Mais à chaque épreuve, à chaque risque que vous prendrez, vous chercherez à vous dépasser et forcément vous y gagnerez.

 

Par exemple, chaque soir avant d’aller vous couchez, planifiez le risque que vous allez prendre le lendemain. Fermez les yeux et imaginez- vous en train d’agir.

Visualisez la situation de la manière la plus claire possible, avec le maximum de détailspour qu’elle vous semble réelle.

 

Passez en revue tous les points susceptibles de vous faire trébucher, puis envisagez les solutions vous permettant de surmonter ces obstacles.

 

Le jour J, si vous arrivez à dépasser toutes vos hésitations, vous vivrez des moments formidables avec cette satisfaction d’avoir surmonter cette épreuve.

 

Vous vous sentirez plus fort et plus maître de vous-même.

Et votre réussite vous donnera sûrement l’envie de repousser encore plus loin vos limites.

 

Malgré les aléas de la vie, et les choses que l’on ne peut pas maîtriser, pour le reste vous êtes responsable de ce qui vous arrive.

 

Prendre ses responsabilités, ce n’est jamais penser que ce que vous êtes devenu ou ce que vous vivez est la faute d’autrui ou de quelconque contingences extérieures.

 

Prendre ses responsabilités, c’est aussi ne pas se faire de reproche.

 

Prendre ses responsabilités signifie avoir conscience des moments où vous n’avez pas su vous impliquer et pouvoir, à l’avenir, vous corriger.

 

Petite parenthèse sur la relation amoureuse :

 

C’est un domaine « à risque », en termes de perte de maîtrise du cours de son existence. Certains signes avant-coureurs constituent des signaux d’alarme à prendre en compte tels que :

-apitoiement sur soi-même

- colère

- contrariété

- critique

- déception

- dépendance

- envie

- impatience

- ingérence

- jalousie

- lassitude

- manque de réalisme

- menaces

- obsessions

- refus de toute mise au point

- reproches

- sentiment d’impuissance

- souffrance

- tristesse

- vengeance

 

Prendre ses responsabilités, c’est arrêter de ruminer sans fin de manière stérile, c’est avoir conscience que des contreparties ont cautionné l’immobilisme.

 

Parfois, se sentir victime, reste un réconfort plutôt que de se juger, reconnaître ses responsabilités et agir pour changer.

 

Prendre ses responsabilités, c’est déterminer clairement ce que vous voulez dans la vie et agir en fonction de ce constat.

 

Prendre ses responsabilités, c’est garder toujours l’éventail de choix possibles dans une situation donnée.

 

Il est important d’être conscient que vous pouvez choisir ce que vous allez faire. Le choix est entre vos mains.

 

Face à une angoisse, faites la liste des contreparties, des alibis qui justifient votre immobilisme dans certains domaines.

 

Qu’évitez-vous d’affronter ?

 

A quoi vous dérobez-vous ?

 

Quels avantages en tirez-vous ?

 

A quelle image vous raccrochez-vous ?

 

 

Ayez toujours à l’esprit que les diverses possibilités qui s’offrent à vous face aux situations rencontrées au cours de la journée.

 

Quand vus êtes confrontés à une difficulté quelconque, asseyez-vous et écrivez dans un petit carnet la liste des choix possibles. Fermez les yeux et imaginez ce que vous ressentez face à chacune de ces éventualités.

 

L’une d’entre elles vous rendra heureux.

Et vous saurez choisir la bonne attitude.

 

Les 7 façons de devenir maître de soi :

 

-évitez de rendre le monde extérieur responsable de vos déboires et de vos démêlés avec la vie. Vous seul pouvez exercer un contrôle sur vos pensées et sur vos actes. Rien ni personne ne peut le faire à votre place.

 

- ne vous faîtes pas de reproches si vous ne vous sentez pas complètement maître de vous, faîtes de votre mieux et sachez qu’il faut du temps et de l’expérience pour acquérir cette maîtrise.

 

- soyez conscient des moments et des situations où vous endossez le rôle de victime. Apprenez à reconnaître les signes montrant que vous n’êtes coupables de rien, ni de ce que vous êtes, ni de ce que vous faîtes ou de ce que vous ressentez.

 

- apprivoisez votre pire ennemie, cette « voix » intérieure qui vous prédit toujours le pire.

 

- cherchez les contreparties qui vous empêchent d’agir. Une fois que vous les aurez trouvées, vous serez probablement capable de passer à l’action.

 

- déterminez clairement ce que vous voulez dans la vie et agissez dans cette voie. Cessez d’attendre que les choses tombent du ciel, vous risqueriez d’attendre longtemps !

 

- soyez conscient de l’infinité des choix qui s’offrent à vous dans n’importe quel domaine, qu’il s’agisse d’actions à entreprendre ou de sentiments.

 

 Empruntez le chemin qui vous fera vous sentir mieux dans votre peau, en paix avec vous-mêmes et vos proches.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le choix gagnant

La peur de prendre des décisions compte parmi les épreuves les plus paralysantes. Parfois, on se sent comme l'âne entre de bottes de foin : incapable de choisir celle qui va manger, il meurt de faim.

L'ironie de la chose, bien entendu, c'est qu'en arrivant pas à se déterminer, l'âne fait aussi un choix : celui de mourir. En fait, on décide soi-même de se priver de ce qui serait profitable et agréable.

« Un mauvais choix » : ce sont deux mots qui nous terrifient et que le car il entraîne la peur de tout perdre, les amis, l'amour, l'argent, le statut social ou tout autre chose qu'est censé nous apporté le bon choix. La perspective de faire des erreurs déclenchant une fébrilité, une panique, voire une paralysie totale. Nous sommes tellement quête de perfection que l'on oublie qu'un éventuel impair est toujours source d'enseignement. De ce besoin de perfection et de contrôle de l'issue des événements provient notre peur du changement et des nouveaux défis à relever.

Quels que soient vos choix ou vos actions, vous n'avez littéralement rien à perdre mais au contraire tout à gagner.

Il faut donc porter un regard neuf sur ceux qui vous entoure. Il faut changer d'état d'esprit, transformer votre manière de penser, de façon à rendre impossible l'erreur ou un mauvais choix.

Il faut savoir se montrer déterminé, élargir ses horizons, oser prendre des risques et de dire je veux m'en sortir.

Avant de prendre la décision :

Concentrez-vous immédiatement sur le modèle gagnant en affirmant je ne peux pas perdre. Peu importe l'issue de la décision. Le monde fourmille d'opportunités de toutes sortes, et je brûle d'impatience de saisir les chances d'apprendre et de grandir que la vie me donnera.

Ne laisser entrer que les pensées en rapport avec ce que vous pouvez gagner.

Ensuite passez à la pratique :

ne craignez pas de demander l'avis de professionnels pour vous aiguiller dans votre décision. Il est important de parler aux personnes adéquates c'est-à-dire, à celles qui font vous soutenir dans notre parcours est dans votre épanouissement.

En bref, n'évoquez plus votre décision devant ce qui vous font douter de vous, parlez plutôt de la pluie et du beau temps si vous êtes contraints de les côtoyer...

N'ayez pas peur d'être considéré comme un raté si vous ne réussissez pas. Mettez votre orgueil de côté. Votre vrai succès, ce sera d'avoir essayé.

On ne peut pas parler de faux départs si on s'engage sérieusement dans un projet.

Il faut se dire qu'à chaque étape vous vous sentirez de plus en plus déterminés à entrer dans la bataille, même si le résultat ne correspond pas toujours à ce que vous pensiez.

Ne vous laissez pas abattre par les refus ! Faire part de vos idées et vous montrez persévérant en laissera peut-être quelques-uns sceptiques, mais cela aura deux avantages de taille : accumuler de précieuses informations et, surtout, préciser clairement notre volonté ! La détermination est un outil essentiel voire incontournable dans la réalisation de vos désirs.

 

Déterminez vos priorités :

Il faut tout d'abord réfléchir à ce que vous a tenté réellement de la vie et prenez le temps d'y penser.

Essayez de trouver la voie qui vous correspond le mieux et qui correspond aussi aux buts que vous poursuivez dans la vie, d'une façon générale et au moment présent.

Vos objectifs évoluent avec le temps, c'est pourquoi vous devrez les reconsidérer régulièrement.

 

Suivez votre instinct :

Il est difficile d'entrer en contact avec son « moi intime » lors d'un examen de conscience, aussi approfondi soit-il.

Cependant, on ressent parfois, venant de l'intérieur de soi, des signaux en faveur d'une telle ou telle décision. Vous vous sentez influencé par une sorte de pulsion intérieure qui vous oriente vers une autre décision. Si vous éprouvez cette sensation, n'hésitez pas à vous y fier : elle provient de votre subconscient qui vous fait parvenir un message avisé. Suivez sans hésiter ce conseil, vous serez étonné de constater que votre instinct est un de vos meilleurs conseillers.

Décoincez- vous :

Nous vivons dans un monde où les gens se plaindre trop au sérieux. Imaginez que vous êtes une sorte d'étudiant inscrit à l'« Université de la Vie ».Votre curriculum vitae, c’est l’ensemble de vos relations avec le monde, depuis votre naissance jusqu’à votre mort. Chaque expérience compte.

Chaque chemin que vous pourrez prendre, vous en tirerez des enseignements.

Il suffit de trouver la place qui vous convient dans ce grand voyage d’études à travers la vie, d’en apprendre le plus sur vous-même et sur le monde qui vous entoure.

Quel que soit le résultat de votre décision, vous serez capable d’assumer la situation.